Une bonne bière au beurre après une bonne journée

Voilà une bonne journée de passée. Enquête, rédaction, suspiscion... une journée de journaliste ordinnaire, si ce n'était son terme. Pourquoi se retrouvait-il aux trois balais? Très simple: il était en train de faire un reportage sur la vie des collégiens de Poudlard, et Pré-Au-Lard et ses Trois Balais était un lieu de passage obligé pour une enquête sérieuse.

D'après ce qu'il avait appris, lui qui venait de Beauxbâtons ne le savait pas, ce qu'était ce lieu pour les jeunes britanniques. Il avait passé l'après-midi dans le village à flâner et à observer. Il avait interogé beaucoup de personnes, de commerçants, d'étudiants.

Peu à peu l'article prenait forme. Il était assis à une table à côté d'une fenêtre embuée. Sa plume à papote écrivait tout ce qu'il lui dictait. Ses yeux étaient perdus dans le vague lorsqu'ils s'arrêtèrent par hasard vers un homme spécial.

- Vous prendrez autre chose monsieur D'Armagnac.

- Non, je vous remercie Rosie.

Philintre laissa ses affaires et observa l'homme pendant un petit moment. Son allure et sa tête lui disaient quelque chose. mais quoi?

Réiix regarda dans un coin. Il remarqua un assez jeune homme de la même taille avec une plume à papote à ses cotés. Réiix remarqua aussitôt que c'était Philingue D'Armaniac le directeur du journal que dirigeait auparavant Xynophilius Lovegood. Il s'approcha du jeune homme, lui tendant un sourire, avec sa Bière au Beurre à la main.

-Bonjour Mr. D'Armaniac ! Je suis Réiix Selwin, Chef Auror au Quartier Général du Ministère de la Magie. Comment allez-vous ?

Réiix regarda le jeune homme très délicat sans arrêt a dicté à sa plume à Papote quoi écrire. Le jeune ne sembla pas le remarquer. Réiix ne répondit pas autre chose et s'assit avant que les yeux du jeune homme se perde dans son texte. C'était honorable de rencontré un journaliste dans un Bars de Pré-Aux-Lard.

-Qu'elle bon vent vous amènent mon cher ?

Il tenta de jeté un coup d'oeil dans son texte mais vu simplement le titre qui dénommait l'école de Magie de Poudlard. Réiix eu un exellent sourire. Il termina sa Bière au Beurre et Rosemerta revint aussitôt :

-Une autre Bière au Beurre mon cher. Je vous l'offre.

-Merci ma chère mais je ne voudrais pas vous mettre dans le trouble. J'ai les moyens de la payer votre Bière alors laisser moi en prendre une autre. Tenez 10 Gallions et 3 Noises. Gardez la Monaie.

Mme Rosemerta eut un air surprit.

-Très bien Mr. l'Auror, je vous amènes celà toute suite.

Réiix regarda la propriétaire partir vers le comptoire. Elle revint avec une Bière au Beurre très rapidement et Réiix prit une exellente gorgé et attendit que le jeune homme le regarde.

Oui, l'article était en bonne voie. La plume à papote grattait avec frénésie sur le parchemin du journaliste. Ses idées étaient claires, il lui fallait en profiter. Le pub et son ambiance ne nuisaient en rien dans son travail. Oublié l'homme, il se replongea dans son travail, jusqu'à ce que cet homme vienne le voir. Que voulait-il?

Philippe leva le regard dubitatif et observa son interlocuteur. Se demandant comment il pouvait bien le connaître, le journaliste se contenta de lui sourire et de le saluer.

- Bonsoir monsieur.

Puis, il but une gorgée de Bourbon-Pur-Feu, lentement, reposa le verre sur la table en se demandant toujours pourquoi cet homme semblait prendre un malin plaisir à venir le perturber dans son travail.

- Asseyez-vous si vous le souhaitez... oh, mais c'est déjà fait...

Alors, amer, il arrêta sa dictée, et la plume se posa sur le parchemin, attendant que le journaliste vienne le réveiller.

- Que puis-je faire pour vous M. Selwin?

Réiix s'arrêta quelque instant afin de prendre une autre gorgée de bièrre au beurre. Mr. D'Armagnac semblait se faire dérranger par Réiix.

-Si je vous dérrange mon chère ami, je peux m'en aller.

Réiix eut un sourrire appréciateur. Le jeune homme semblait trèes occupé et n'avait sûrement pas le temps de parlé avec un auror qui avait terminé son travail. Réiix observa par la fenêtre le vieux bar "La tête de Sanglier" qui est dirigé par Abelforth Dumbledore, le frère d'Albus Dumbledore. Celui-ci n'avait pas beaucouo de clientelle mais depuis que Voldemort ai été vaincu, les personnes aillent plus souvent dans son bar.

Réiix revint sur terre et bu une autre gorgée de bièrre au beurre accompagné de cacahuettes qu'il avait dans ses poches. Réiix eut un air stupéfaite quand plusieurs autres clients qu'il connaissait venaient d'entrer dans le bar. Mais ceux-ci ne vinrent pas vers Philinte et Réiix. Ils allèrent dans un coin avec une table ronde. Réiix reprit une poignée de cacahuette et les mirent sur la table.

-Voulez-vous un peux de cacahuette ?

Réiix mangea deux cacahuette en même temps et les savoura. Étant très bonne, Réiix reprit une gorgée de bierre au beurre.

-Excusez-moi je vais aller au toilette. Je reviens dans deux minutes.

Réiix se dirigea vers la porte des toilettes. Il revint quelque minute après et se rassis devant Mr. Philinte D'Armagnac.

- Vous ne me dérangez point. Je dirai que vous êtes... raffraîchissant monsieur le chef Auror.

Cet étrange personnage avait déjà dérangé la tranquilité dans laquelle le journaliste aimait à se draper pour parfaire son travail. Malgré le bruit et le mouvement environnant l'espace du pub, Philinte avait tout de suite apprécié la chaleur familiale qui y régnait. Rosmerta était discrète, efficace et avait parfaitement compris la manière de travailler du journaliste, ce qui en faisait une alliée précieuse.

Alors que Philinte allait lui poser une question des plus pertinentes, l'étrange personnage disparut clamant nochalamment ce qu'il allait faire et le but de son entreprise... Décidément, il était des plus surprenants.

Philinte éclata de rire, et lorsqu'il revint, il eut beaucoup de mal à se calmer.

- Alors monsieur le chef auror, comment se porte la sécurité nationale?

Réiix regarda parfaitement après son retour des toilettes. Il demandait à savoir comment allait la sécurité nationale. Réiix rigola pendant quelque seconde.

-Quelque Mage Noire en Nouvelle-Écosse. Mais ceux-ci son loin d'égaler nos grade 8. Lord Voldemort, lui, et bien avait totalement réussit a trouvé un moyen très rapide de détruire nos aurors. Mais la sécurité en tant que telle va merveilleusement bien. Nous sommes maintenant en formation afin de rendre nos grade débutant aussi haut que les grades permissent pour la chasse au Mage.

Réiix acquiesça un signe d'une signe de tête en prononçant sa phrase. C'est vrai que les rapports des nouveaux sont fréquents et oubligatoire ces temps-ci et devait absolument donner son rapport au Ministre. Réiix attrapa sa bierre au beurre et bu une autre gorgée. Il revint à Philinte immédiatement.

-Avec la permission national, nous allons demandé une permission spéciale pour utilisé les sortilèges Doloris et Impérium dans les intérrogatoires se qui a été abolie il y a de nombreuses années car l'utilisation s'y faisait en mission. Je trouve que si nous l'aurions eu avant, nos chance de détruire Lord Voldemort aurait été plus facile car on aurait eu les informations par quelque Mangemort. Mais bon. Qu'en pensez-vous ?

Certainement, si ils auraient eu la permission d'abords, le règne du Mage du Siècle aurait été étaint bien avant. Mais bon, ça fait partie du métier.

Les yeux du journaliste s'écarquillèrent lorsque son cerveau assimilèrent les paroles tenues par le chef auror. Le tout sans majuscule. Oui, son titre de chef avait perdu toutes ses lettres de noblesse devant Philinte. Comment était-il possible d'avancer de telles idées sans la moindre honte?

il fallait creuser le sujet, sans doute tenait-il là un fameux sujet pour le mois prochain. Aussi afficha-t-il un grand sourire à l'intention de son interlocuteur. D'un signe de la main il fit comprendre à Rosie qu'il fallait qu'elle leur serve la même chose.

- J'en pense que... Verriez-vous un inconvénient à m'accorder une interview officielle? Je suis sûr que nos lecteurs seraient friands de savoir comment le Chef Auror envisage le maintien de l'ordre dans nore beau pays.
Vous êtes un personnage important de l'Etat, j'espère vivement que vous me répondiez favorablement.

La charmante serveuse arriva son plateau à la main.

Philinte ne partageait pas du tout l'avis de Reix. Il lui tardait de pouvoir approfondir la conversation avec lui.

Dès que Rosmerta apporta le plateau, Réiix s'empara d'une bière au beurre frêche. Donc, il réfléchit à Philinte sur l'idée d'une interview. Allait-il détruire l'aspect du Chef Auror dans les jounaux ? Peut-être que oui, peut-être que non. Mais quoi choisir ? Il avait l'air d'un gars confiant, mais d'un coté chaque journalistes tentent de gagné leur Gallions en fournissant de faux information sur la situation. Les ambitions du journaliste semblait dressé les cheveux sur le tête de Réiix. Si il répondait à une mauvaise question, son poste de Chef Auror pourrait être en jeu. Réiix se raidit.

- Peut-être que je peux y répondre. Mais certaine information doivent resté secrète. Et si il y a des questions qui ne me convient pas, je n'y répondrais pas.

Le Chef Auror jeta un œil dans le bar. Il sortit sa baguette et pointa le sol :

-Assurdiato ! Maintenant nous sommes tranquille. Alors commencez.

Réiix se positionna attentivement aux questions posé par le journaliste.

L'excitation de cette interview avait sensiblement modifié l'humeur de Philinte et ainsi raccourci ses cheveux. Ils étaient ras à présent et témoignaient parfaitement de l'attention et l'acuité qu'il allait mettre dans cette interview.

Ecorner la vérté n'était pas l'une des activités favorites de notre misanthrope, bien au contraire. Ses confrères s'en délectaient? Lui s'en offusquait.

Le pub s'était progressivement vidé, ils se retrouvaient dans de bonnes conditions pour travailler. Les premières questions lui vinrent à l'esprit assez rapidement.

- Monsier Selwin, vous êtes Chef des Aurors.

La plume à papote s'envola juste à côté de Philinte et commença à faire son travail.

- Monsieur Selwin, comment voyez-vous votre métier d'auror aujourd'hui?

Réiix écouta attentivement la question qu'allait posé Philinte d'Armagnac. Avec la question il fini par dire :

- Monsieur Selwin, comment voyez-vous votre métier d'auror aujourd'hui ?

Réiix réfléchit :

-Et bien ! Pour vous répondre franchement, c'est un métier très difficile. D'abors il faut recruté des membres savoir ceux qui ferait l'affaire au Minsitre de la Magie. Celà fais aussi beaucoup de peine puisque il y a quelque moment, il y a eu le meurtre de Mme Lancaster. Celle-ci a été attaqué par un vampire. Je suis ooubligé de vous cachez le nom temps et aussi longtemps que Mr. Lancaster aura décidé que je puisses donner son nom.

Réiix était presque au bords des larmes :

-Nous voyons beaucoup de mort dans ce métier et celà présent beaucoup de codoléance. Nous vivons souvents des moments difficiles et parfois les enquêtes ne demeure pas aussi facile.

Réiix attendit la prochaine question.

HJ: Essaie de faire un effort sur l'orthographe et la grammaire ou je vais te fire faire des exercices dans la rubrique HJ. pense qu'il y a du monde qui te lit, et certaines de tes phrases ne veulent rien dire.

DJ: Le journaliste jeta un coup d'oeil à sa plume à papote qui semblait dubitative, avis que partageait Philinte. Il commença à se demander comment ce type avait pu être nommé Chef d'une si prestigieuse compagnie, ce grand service de l'etat! C'en était tellement incroyable qu'il l'aurait pris pour un affabulateur s'il ne l'avait pas vu à l'inauguration.

- En effet, se contenta-t-il de répondre en se concentrant sur les prochaines questions.
Quel est le niveau de sécurité aujourd'hui dans notre communauté? Quelles sont les actions et les moyens que vous aimeriez vous voir attribuer de la part du Ministère?

Plume "Off", dit-il haut.

La plume retomba sur la table, inanimée. Philinte reprit ainsi la parole pour expliquer et préciser sa question.

- N'ayez pas peur, je coupe juste pour préciser que j'attends de vous la même réponse que précédemment, c'est tout.

La question était intéressante et la réponse qu'il avait donnée tout à l'heure était précise et intéresante pour les citoyens sorciers.

(HJ: Oups ! Je viens de revoir certaines fautes :S. Je vais me corrigé dans les messages à venir.)

Réiix attendit la prochaine question. Celle-ci était un peut plus sur ces plats de bandes. Il se demandait s'il pouvait y répondre raisonnablement ou que la plume à papote écrirait comme celle de Rita Skeeter et raconterait plusieurs mensonges. Il s'y essaya :

-Et bien. Pour répondre à votre première question. L'état de sécurité dans notre monde présentement est redevenue au calme depuis la mort de Lord Voldemort. Il est certains aussi qu'il restera toujours des forces du Mal et cela ne s'arrêtera "jamais". Nous fessons de notre mieux aussi pour garantir une sécurité de haute catégorie à notre beau pays d'aujourd'hui. Il est certains que des vies nous échappes chaque jour. Mais c'est ainsi qu'est conçu la vie.

Réiix réfléchit un moment avant de réponde à la deuxième question. Il fallait la dire correctement sinon toute l'interview serait détruit.

-Pour votre deuxième question. Il est certains que je souhaiterais utilisé quelque Sortilège Impardonnable. Il est aussi certain qu'ils doivent être employé de bonne manière. Quand je parle d'utilisé les Sortilèges, je parle d'utilisé le Sortilège Doloris ou de l'Impérium. Mais biensûr, je ne veux aucun mal. Doloris peut être utile dans les intérrogatoires et Impérium lors d'une stratégie. Si par contre, un Mage Noir détient un otage, et bien nous pouvons capturé un de ses serviteurs et lui lancé le Sortilège de l'Impérium pour qu'il aille libéré l'otage. Vous comprenez ?

Philinte se gratta le menton interloqué. La plume avait repris son écriture et notait scrupuleusement tout ce que disait ce curieux personnage. Le jeune journaliste imaginait le retentissement qu'aurait cet article quand il paraîtrait dans le Chicaneur. Sans doute cela ferait grand bruit.

- Si je vous suis bien, vous êtes en train de dire que la torture devrait être largement admise dans le cadre de vos enquêtes pour vous aider à faire parler les prisonniers?

C'était ahurissant. Philinte avait l'impression de se retrouver face à un de ces personnages de série télévisée moldue où on utilisait certaines méthodes peu ragoutantes pour obtenir des informations tronquées la plupart du temps.

- Mais ne craignez-vous pas les abus?

- Cela ne résoudrait aucun problème car il faudrait toujours un supérieur pour surveiller quelqu'un... etc C'est un cercle vicieux, on ne s'en sortirait jamais.

L'interview touchait à sa fin.
Le journaliste prit les feuillets de la plue à papote, il les relut silencieusement, puis releva le nez vers M. Selwin en lui souriant.

- Je vous remercie M. Selwin. L'article paraîtra sous peu dans les colonnes du Chicaneur. Je pense que votre point de vue intéressera beaucoup de monde.

Philinte se leva, prit tout son bazar avec lui, et salua le chef Auror. Il partit plutôt content de cette rencontre. Une véritable aubaine pour lui. Il lui faudrait un peu de temps pour terminer son enquête à Pré-Au-Lard, mes les propos du Chef valaient de l'or. Le Ministre serait certainement furieux de lire ça dans un journal...