Prénom: Philinte, Léandre, Alceste.
Nom: D'armagnac
Titres: Comte D'Armagnac et de Rodez, comte de Pardiac et de Guise,
duc de Nemours... pour les moldus.
Nationalité: Française
Age: 31 ans, né le 25 Décembre 1976
Maison: Ancien pensionnaire de Beauxbâtons
Statut: Sang Bleu
Baguette magique: 27 cm, bois de hêtre, plume de focifère.
Balai: Fend-la-bise
Pouvoirs spéciaux:Occlumens
Animagus: Un écureuil
Patronus: Une biche
Langues parlées: Français, anglais, Espagnol.
Signe particulier: Ses cheveux sont longs et soyeux. Mais s'il est énervé ou contrarié, ils raccourcissent.
Ce n'est pas en rouge qu'il faudrait écrire cette histoire, mais en bleu. Le bleu du sang qui coule dans ses veines. Philinte est le produit d'une histoire qui a commencé avec Garcia le Courbé, comte de Gascogne, et fondateur de la maison d'Armagnac, l'une des plus vieilles familles nobles de France.
Nous gageons ici que les péripéties les subtilités de la noblesse française ne vous intéressent pas, nous vous l'épargnerons donc.
Le père de Philinte, Charles-Henri, a été le premier D'Armagnac a remettre les pieds en France. Curieux pensez-vous? Non. A la période de la révolution, l'exode nobilière n'a pas épargné la famille de Philinte, qui se réfugia en Angleterre.
Depuis sa naissance, Charles Henri ne rêvait que de château et de rang retrouvé. Il parvint à convaincre son père (sorcier comme lui depuis la quinzième génération) d'aller voir le directeur de Poudlard pour l'autoriser à suivre sa scolarité à Beauxbâtons.
C'est ainsi que la France fut rendue aux Amagnac.
Philinte vit le jour dans le château où vivaient ses parents, le 25 décembre de l'an 1976. Ce n'est pas n'importe quel château, il s'agit quand même de Chenonceau... Nous ne nous étalerons pas sur les différents stratagèmes utilisés par cet habile entremetteur pour spolier les moldus propriétaires, ainsi que les visiteurs de toute une partie du château... Mystères et bonheurs de la magie...
Elevé démodé à l'époque moderne, Philinte a vécu son enfance au milieu de la cour d'un Louis XIV intemporel. Chez lui ont défilé tous les archétypes de la noblesse sorcière française, on se boussulait pour se faire voir et admirer, on maniait le verbe comme jadis on souffletait pour provoquer en duel.
Au milieu de ce théâtre vivant, Philinte étouffe. Délaissé par sa mère maniaco-dépressive, obsédée par sa beauté tant que sa réputation, il tenta de seretourner sur son père, mais en vain. Arc-bouté sur la raideur se son éducation, il a été incapable de lui offrir une fenêtre de rêve.